En écho au tourbillon d’écriture que depuis six mois je ne dompte pas, cette phrase d’Hélène Cixous au sujet, elle, des deux ans précédant l’écriture d’Osnabrück en 1999 : « Les temps, c’est comme si mon amour le poète me disait d’écrire ce qui m’échappe, d’attraper ce qui me passe sous la pensée. Mais depuis [...]