Imre Kertész, La liberté d’être soi dans la société à laquelle on appartient

Une question qui interrompt ma lecture, qui s’infiltre dans l’écriture en cours, qui a un effet de miroir:

« Je voudrais aborder une question qui, ici, au centre de l’Europe, n’est vraisemblablement pas une question. Il s’agit de la liberté d’être soi, c’est-à-dire la liberté d’être ce qu’on est dans la société à laquelle on appartient. De ne souffrir d’aucun mépris, d’aucune discrimination ouvertement ou secrètement approuvée par l’État pour sa naissance, pour ce qu’on dit ou pense être; et d’autre part, aussi, de ne pas profiter d’avantages immédiats en raison de son origine, de ses convictions, de ses idées ou de sa personnalité. »

L’Holocauste comme culture, photo de couverture d’Isolde Ohlbaum (Actes Sud)

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